Bienvenue à la fondation Jean-Gontran QUENUM
Mesdames, Messieurs
Chers amis,
Nous sommes heureux de vous présenter l'idéal de la fondation Jean-Gontran QUENUM qui se veut être
une prédisposition à la fraternité fondée par l'expression de quelques reconnaissances :
- la première pour le Bénin où
nous avons grandi,
- une autre pour la France qui a complété notre éducation et nous a permis de mieux comprendre certains
enjeux mondiaux
- et enfin, une dernière pour les États-Unis d'Amérique (USA) où nous avons réalisé qu'on peut rêver grand et mieux réussir.
Cette initiative est un hommage rendu
à la qualité des hommes et des femmes que nous avons rencontrés ainsi qu'aux systèmes dans lesquels nous avons évolué et qui, ont aiguisé en nous
cet esprit de service et de disponibilité.
Ayant parcouru beaucoup de pays, quelle n'a été ma gène de constater que certaines régions du monde sont plus - voir inversement - développées que d'autres malgré des prédispositions évidentes. Je m'en voudrais de taire
les nombreux atouts banalisés et talents dormants dans nombre des pays africains : tout ceci m'a inspiré en 1999 la création de la fondation Jean Gontran QUENUM dont la mission est de stimuler par l'éducation, le travail,
la culture et l'organisation, les immenses potentialités et capacités de l'être humain : la fondation Jean Gontran QUENUM reste une opportunité.
Pour ceci, nous espérons compter sur votre soutien.
Jean Gontran QUENUM
A propos du Fondateur
CV du Fondateur
Mr QUENUM Jean Gontran est consultant en Stratégies et développement
International et, diplômé d’ Études Supérieurs Spécialisées (DESS) en mangement à
L’international à l’lnstitut d’Administration des Entreprises (IAE) de Poitiers en
France (promotion 1990-1991).
C'est à Houston dans le Texas que Monsieur QUENUM fit ses premières expériences dans le développement international auprès de Duncan Wine Investments, société
d’investissement basée dans cette ville du Texas. Initialement stagiaire dans cette entreprise dans le cadre de sa formation à l'IAE de Poitiers, il y occupa ensuite les postes
d’Administrateur de projet et de directeur du développement international.
Fasciné par la grande disponibilité de capitaux d’investissements aux USA
, il y créa une « Start-up », Comstar Cellular Network que Duncan Wine Investments accepta de financer.
La mission de cette start-up était de rassembler des capitaux d’investissements
américains pour le financement des projets d’exploitation en
Télécommunication cellulaire en Afrique principalement et, dans le monde. Créé en 1992 Comstar Cellular Network
fut rachetée deux années plus tard par le
Richissime homme d’affaires de Boston : Greg CARR président de « Boston
Technologies », en 1994.
Comstar fut réorganisée ensuite en International Wireless au sein de laquelle Mr
QUENUM Jean Gontran occupa le poste d’administrateur de projets. Très tôt,
International Wireless intéressa la première fortune
Mondiale : Carlos Slim Hellu qui la racheta en 1999.
Grace à de nouvelles
Acquisitions et réorganisations en Asie et au Mexique, International Wireless fut
Réorganisée en « PRODIGY » et cotée à la Bourse de New-york(NYSE), le 11
Février 1998.
Vendue à 11 dollars US à l’ouverture de la bourse (vers 9h) ce jour là, l’action
« PRODIGY » s’est très bien appréciée, atteignant le seuil de 59 dollars US (aux
environs de 15 h) et, réalisant ainsi d’importants profits pour plusieurs milliers d'investisseurs
américains.
Jean Gontran QUENUM fort de cette expérience a initié International Strategies, un cabinet de Conseil en stratégies et développement international.
Oeuvres associatives
Né en 1963 à Cotonou (République du Bénin), Monsieur QUENUM Jean-Gontran a subi la rigueur d’une éducation strictement chrétienne, partagée (pendant son enfance) entre l’Eglise catholique et celle protestante méthodiste.
Sensibilisé dès son jeune à l’initiative caritative, il fut responsable de la chorale des enfants de l’église Saint Michel de Cotonou à 13 ans. S'impliquant ainsi très tôt dans les différentes missions et organisations sociales de sa paroisse en direction des pauvres, il prit très vite conscience d’une certaine détresse humaine et fit l’apprentissage précoce du devoir de solidarité. C’est donc à cœur joie qu’il participa, aux journées de soutien aux malades dans les hôpitaux ainsi qu’aux compagnes de collectes de dons en faveur des pauvres, organisées par sa paroisse encore enfant.
Plus tard au lycée, alors que le Bénin était dans l’effervescence de la révolution Marxiste, il se vit confier (au cours secondaire protestant de Cotonou) les responsabilités de commissaire aux comptes du Bureau de la coopérative scolaire de cet établissement.
Après le Baccalauréat, Mr QUENUM Jean-Gontran s’inscrit à l'Université de Poitiers en France et obtint en 1990 un DESS (Diplôme d'Études Supérieurs Spécialisées) en Management à l'international de l'institut d'Administration des Entreprises (IAE) de cette même ville.
Dans cette ville de ferveur et d’émulations intellectuelles qui
fut le vivrier d’une des cellules les plus décisives de la FEANF (Fédération des
Etudiants d’Afrique Noire Francophone), dont les activités furent interdites par un décret présidentiel pris
par le président Valery Guiscard Destaing le 5 Mai 1988, Jean-Gontran QUENUM initia en 1990 la création
du CAP (Comité d'Action Panafricain).
Le CAP a pour premier objectif de combler le vide organisationnel créé par la dissolution de la FEANF.
Faisant le constat de l'échec des aînés (cadres africains) promus à des postes de responsabilités dès leur retour au pays,
le CAP (Comité d'Action Panafricain) se veut un creuset de formation, et d'apprentissage à l'idéal panafricaniste, grâce à la participation collective
de volontaires à des initiatives en direction de l'Afrique. Il promeut un engagement incondiotionnel à sortir l'Afrique du sous-développement
grâce à une nouvelle éthique de gestion des affaires publiques.
Usant de ses expériences en organisations il engagea des consultations avec les
ainés (anciens étudiants ou salariés africains installés à Poitiers) et les plus jeunes
comme lui-même à l’époque, ainsi qu’avec les responsables administratifs locaux.
Son initiative reçut très vite la validation des africains de Poitiers (étudiants et
Enseignants en grande majorité au départ).
Ainsi, il initia une campagne de communication autour de sa vision et, réussit
l’organisation des premières journées panafricaines de Poitiers qui furent
l’embryon de la création du CAP. Ainsi fut crée le premier Bureau du CAP
(Comité d’Action Panafricain).
Aujourd’hui le CAP (connaître le CAP) est une organisation qui s'est étendu
dans d’autres villes de France.
En France, à Poitiers Jean-Gontran ne s’intéressera pas seulement à la vie et aux problèmes
de sa communauté africaine d’origine. Ainsi sur le plan associatif il prit part à plusieurs activités
organisées par les organisations caritatives locales comme le toit du monde, le secours catholique…
Constatant que les difficultés rencontrées par les étudiants en fin de formation sont dues en grande
partie à une par méconnaissance des critères et circuits de décision d’embauche internes propres
aux entreprises, il initia en 1988 à Poitiers : « les étudiants de nos villes », 1ère journée d'échanges entre les étudiants de l'Université de Poitiers
et les entreprises de cette même ville. Après l'organisation d'une conférence d'échanges entre les étudiants et les entreprises dont le thème est : Mon premier emploi,
les étudiants ont eu l'opportunité de beneficier des expériences, et des conseils de grandes entreprises de la ville : banques, assurances, industries ... Cette journée est désormais une tradition.
Plus tard aux USA dans la ville de Houston, JGQ participa aux rencontres du Black Men association.
C'est tout naturellemnt, dans le droit fil de ce parcours qu'il initia en 1999 la création de la Fondation Jean-Gontran QUENUM
Autres centres d'intérêts
S’étant rendu par ailleurs compte au cours de ses déplacements des potentialités de
développement touristiques des pays africains, Monsieur QUENUM mise sur les
revenus importants que ces pays pourraient tirer d’une meilleure
organisation sur le plan touristique.
En effet, plusieurs pays africains contrairement à d'autres qui engrengent déjà d'importants revenus touristiques,
gagneraient beaucoup à mieux s'organiser en offrant de belles opportunités de vacances et de tourisme comme c'est
le cas déjà vers les destinations telles que le Kenya, le Sénégal, le Ghana voir la Côte d'Ivoire.
Il est question de multiplier les initiatives incitatives aux tourisme dans les pays à faible taux de fréquentation. Il publia au USA en 2005 "ROOT
RECORVERED", ouvrage de promotion touristique des destinations d’ Afrique noire et, d’incitation des africains de la diaspora au retour en Afrique. Il y vulgarisa l’usage des tests d’ADN aux fins de connaître sa tribu ou son ethnie d’origine, test scientifique élaboré et conçu pour l’usage par les noirs de la diaspora désireux de connaître avec une plus grande certitude d’où venaient leurs ancêtres
esclaves et à quelles tribus ils appartenaient.
Utilisant ainsi ce canal pour la promotion et la vulgarisation des destinations
africaines en tant que destinations de choix, Mr QUENUM participa en personne a
plusieurs expéditions du genre au Sénégal en Casamance et au Ghana.
Il initia le Roots Recovered Festival dont la première édition fut reportée
en raison de l'Attentat contre le World Trade Center.
Monsieur QUENUM est passionné par la cuisine. En effet, pendant ses études à Poitiers, il a régulièrement travaillé comme
plongeur et aide cusinier pendant ses vacances sur l'île de Ré et comme cuisinier de plats africains pendant le festival de Francophonie tenu à Limoge en 1988.
Il initia la création de l'Hôtel le Paquebot au Bénin
Discours du président de la Fondation Jean Gontran Quenum pour le Lancement du RESYCHO
[Le 08 février 2017]
Mesdames, Mesdemoiselles,
Messieurs,
Amis sympathisants et chers invités Mon premier devoir en cet instant précis serait certes, de vous présenter le RESYCHO. Je vais y déférer, mais pas sans avoir au préalable, partagé avec vous la lecture dee L’article 9 de notre constitution du 1l décembre 1990. Cet article m’a inspiré le RESYCHO. Et je comprends 1’amertume de ceux d’entre vous qui estiment aujourd’hui’ qu’il y a injustice, car leurs aînés ont étudié au frais de l’état et ont pu être casés aussitôt à la fin de leurs études. Alors qu’eux se sont échinés à leur propre frais sans avoir les mêmes avantages en fin de parcours. Je comprends aussi le désarroi de ceux qui, en âge de travailler et disposé à le faire se retrouvent sans emploi. L’article 9 dispose en effet je cite : «Tout être humain a droit au développement et au plein épanouissement de sa personne dans ses dimensions matérielle, temporelle, intellectuelle et spirituelle, pourvu qu’il ne viole pas les droits d’autrui ni n’enfreigne l’ordre constitutionnel et les bonnes mœurs ».
D’un coté nous voyons les prérogatives constitutionnelles du citoyen, de l’autre les conditions qui en autorisent la jouissance. Mais au centre des deux, la triste réalité, on pourrait presque donner raison aux marxistes en constatant que les droits ne valent que par la possibilité ou la capacité de leur titulaire à en jouir.
Mais là n’est vraiment pas la question…
Voyons en cet article toute la problématique de notre être en rapport avec notre bien-être, voire, notre mieux-être. Nous constatons que les garanties qui sont censées faciliter l’adhésion du citoyen au contrat social, à la solidarité sont peu fiables parce que l’État et ses administrations se sont dévolus la fonction d’employeurs exclusifs. Du coup ils ont crée jusqu’aux environs des années 1986 des emplois d’une qualité a peu près acceptable, avec comme corollaire une malheureuse adéquation entre le volume des emplois et leurs qualités, ce qui en soi a laissé des impacts négatifs dans les esprits.
Mesdames, Messieurs, Amis sympathisants et chers invités, depuis 2006 nous sommes entrés dans une dynamique sociale que nous souhaitons heureuse. heureuse en ce que celle-ci mobilise toutes les énergies positives de notre pays et qu’elle est saluée par le monde entier. c’est le lieu de s’interroger ensemble sur la notion du plein épanouissement contenu dans notre fameux article 9 et en la lisant, d’essayer de la comprendre en la rapprochant de la nécessité de respecter l’ordre constitutionnel et les mœurs. Or, le ventre qui à faim point d’oreilles, En clair, comment faire pour que le citoyen en attente de servir dans un emploi énuméré ne désespère pas d’avoir à trop attendre sans le moindre espoir ? Telle est la préoccupation du RESYCHO.
Loin de vouloir se substituer à l’Etat dont les fonctions régulatrices en matière D’emploi et de travail restent sans équivoque.
Le RESYCHO entend créer un nouvel esprit de l’emploi et du travail au Bénin.
Selon cet esprit, l’emploi doit jaillir du travail, un travail qui soit capable de centrer l’occupation, la rémunération en même temps que l’émulation, un travail qui mettre L’individu face à ses responsabilités en le soustrayant à la culture de l’assistanat et Surtout, en lui rendant sa dignité.
Ne dit-on pas souvent qu’il n’y a pas de sot métier, qu’il n’y a que de sottes gens !
L’éloquence du mot de Jean-Jacques Rousseau dans le contrat social est assez révélatrice à cet égard : si quelqu’un se plaint de son travail, mettez le à ne rien faire. Est seulement en travaillant qu’on peut trouver un emploi et vaincre la fatalité. Imaginez un instant que personne aux États-Unis n’ait jamais songé un jour A créer le service de distribution de courriers qui fut au commencement du courrier Postal. Nous n’aurions sûrement pas eu toutes la quirielle de grandes sociétés de Distribution dont la renommée, n’est plus à démontrée comme DHL, Fédéral Express, Top Chrono et autres entreprises semblables. Le chômage n’ est pas une Fatalité, nous pouvons le vaincre.
Chers amis sans emploi, au risque de vous déplaire sachez qu’un emploi s’arrache et se mérite mais, ne se donne jamais. Aussi, je vous assure qu’il y a dans vos rangs une quantité de gens qui mettrons du temps pour s’en convaincre ; car notre culture de l’emploi tire sa source dans la conception de celle de notre mère nourricière. On ne veut avoir comme employeur sûr que l’État.
Chers amis sans emploi, l’heure de vérité a enfin sonné, cette vérité vous l’avez déjà fait votre en vous impliquant comme vous l’avez si bien fait depuis quelques semaines. C’est la preuve que notre pays ne tarie pas de bonnes volontés. Je vous en félicite très sincèrement. J’ai été particulièrement ému par la spontanéité, la disponibilité et l’engagement des chefs quartier (délégués) à nous aider à réussir le RESYCHO. Je leur témoigne Toute ma gratitude. Le RESYCHO est le point de départ d’un grand parcours du combattant parce qu’en réalité il ne suffira pas de recenser les demandeurs d’emploi pour prétendre vaincre le chômage. II nous faudra, aussi avec la même détermination, initier d’autres actions en direction des pourvoyeurs d’ emploi.
Nous nous déploierons ensuite pour faire voter des nouvelles lois favorables à l‘emploi. Une franche collaboration avec les pouvoirs publics pourra nous emmener à influencer certaines décisions susceptibles de promouvoir d’avantage d‘emploi. Nous veillerons dans le déploiement de toutes ces actions à atteindre une adéquation entre les emplois et les profils disponibles. Vous convenez avec moi Qu’il s’agira véritablement de changer notre approche du chômage. Voilà ce à quoi nous nous attellerons désormais. Sur ces mots, Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs honorables invités, chères frères et sœurs, je déclare lancé le RESYCHO.
Tous ensemble contre le chômage,
Vive le RESYCHO
Vive le Bénin émergeant
Je vous en remercie !
Vivre, c’est aussi s'engager activement pour le développement.
Jean Gontran QUENUM - Fondateur.